L’après Pâques
L’avant Pâques, vous connaissez, c’est le carême, quarante jours pour travailler sur soi, ses relations aux autres, jeûner, se défaire de mauvaises habitudes. Mais
l’après Pâques ? Tout le monde rêve d’une semaine ensoleillée pour célébrer la résurrection du Christ. Mais lorsqu’il pleut ?
Il m’arrive de rêver de retraite post Pâques pour ancrer en soi ce que cette résurrection change quelle que soit la météo extérieure. Les psys ont inventé la psychologie positive pour réfléchir pas simplement sur la façon de sortir d’une dépression, mais aussi tout simplement sur ce qui permet d’être heureux.
Pourrions-nous inventer un christianisme positif, quarante jours dans l’élan de Pâques pour cultiver la joie ? Par exemple, noter chaque jour ces moments où l’on s’est senti porté, ces moments où l’on a eu envie de remercier ? Ou bien encore reprendre ces bonnes résolutions de carême pour les vivre avec légèreté ? Comme si le royaume de Dieu s’était rapproché de nous.
Il m’arrive de rêver de retraite post Pâques pour ancrer en soi ce que cette résurrection change quelle que soit la météo extérieure. Les psys ont inventé la psychologie positive pour réfléchir pas simplement sur la façon de sortir d’une dépression, mais aussi tout simplement sur ce qui permet d’être heureux.
Pourrions-nous inventer un christianisme positif, quarante jours dans l’élan de Pâques pour cultiver la joie ? Par exemple, noter chaque jour ces moments où l’on s’est senti porté, ces moments où l’on a eu envie de remercier ? Ou bien encore reprendre ces bonnes résolutions de carême pour les vivre avec légèreté ? Comme si le royaume de Dieu s’était rapproché de nous.
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