Célébrer la rencontre CNV et foi chrétienne
J'aimerais célébrer la rencontre de ce dimanche 15 novembre, Communication non violente CNV et spiritualité chrétienne, et remercier les intervenants et les participants.
Il serait trop long de rendre compte de la richesse des échanges. J'aimerais évoquer la lecture de l'évangile de Jean chapitre 5 à la piscine de Béthesda.
A l'évidence le dialogue entre le Christ et l'homme malade ne reprend pas les étapes de la CNV. Mais on peut trouver des correspondances, en voici quelques-unes :
Sur les besoins : le Christ demande à l'homme malade s'il veut être guéri. En CNV, cela revient à vérifier les besoins de l'autre, la personne qui écoute propose un besoin, son interlocuteur peut alors soit le valider, soit au contraire en proposer un autre. Mais ce dialogue aide à identifier le besoin en cause.
L'homme malade a peut-être confondu besoin et stratégie. Il s'est concentré sur la stratégie : être le premier quand la piscine se met en ébullition, en oubliant peut-être le besoin « guérir ». Le Christ en l'intimant de se lever de prendre son grabat et de marcher lui montre que son besoin peut être nourri par une autre stratégie.
La demande Les participants ont fait remarquer que l'homme malade n'avait pas du tout formulé de demande claire, réaliste, au présent, concrète comme le préconise la CNV, mais qu'il avait quand même été guéri. le Christ sauve même les non-pratiquants de CNV, heureusement !
Il serait trop long de rendre compte de la richesse des échanges. J'aimerais évoquer la lecture de l'évangile de Jean chapitre 5 à la piscine de Béthesda.
A l'évidence le dialogue entre le Christ et l'homme malade ne reprend pas les étapes de la CNV. Mais on peut trouver des correspondances, en voici quelques-unes :
Sur les besoins : le Christ demande à l'homme malade s'il veut être guéri. En CNV, cela revient à vérifier les besoins de l'autre, la personne qui écoute propose un besoin, son interlocuteur peut alors soit le valider, soit au contraire en proposer un autre. Mais ce dialogue aide à identifier le besoin en cause.
L'homme malade a peut-être confondu besoin et stratégie. Il s'est concentré sur la stratégie : être le premier quand la piscine se met en ébullition, en oubliant peut-être le besoin « guérir ». Le Christ en l'intimant de se lever de prendre son grabat et de marcher lui montre que son besoin peut être nourri par une autre stratégie.
La demande Les participants ont fait remarquer que l'homme malade n'avait pas du tout formulé de demande claire, réaliste, au présent, concrète comme le préconise la CNV, mais qu'il avait quand même été guéri. le Christ sauve même les non-pratiquants de CNV, heureusement !
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