L'impact de la naissance sur des croyances limitantes, à travers le témoignage de Jean-Paul Rouve
Dans l’accompagnement en mémoire cellulaire, nous nous intéressons particulièrement à la façon dont les personnes sont nées. Jean-Paul Rouve décrit une situation où le bébé demeure bloqué dans l’utérus. Dans son cas, les médecins n’entendent plus les battements de son cœur et le croient mort.
Cela peut entrainer une première série de croyances autour de la mort, notamment lorsque la personne se lance dans des nouveaux projets ou veut sortir de sa zone de confort. Dès la première difficulté, elle peut avoir l’impression que ces efforts sont vains, que « c’est mort ». Cela peut se traduire par des pensées démobilisantes, mais aussi par des sensations bien réelles de vides, d’oppression. La mémoire de ce que le corps a ressenti lors de sa naissance se réactive. Ces sensations incitent souvent la personne à laisser tomber, en attendant une intervention extérieure.
Dans l’exemple donné par Jean-Paul Rouve, la sage-femme a cru à la viabilité de ce bébé malgré tout. Cela peut à la fois susciter une croyance aidante, dans le sens où elle peut aider la personne à croire en ses projets même quand l’entourage et les spécialistes lui disent que c’est impossible. Mais cela peut aussi devenir une croyance limitante, dans la mesure où la personne peut croire qu’elle ne peut réussir par elle-même, qu’elle dépend toujours d’un sauveur ou d’une sauveuse.
Dans l’accompagnement en mémoire cellulaire (ou mémoire du corps), nous travaillons à prendre conscience avec la tête, mais aussi le ressenti du corps de cette mémoire pour ne plus en subir les aspects limitants.
Plus de renseignements en me contactant par mail : cultivetestalents@live.fr
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